La fortune de Gaspard

Voici la dernière des relectures de la bibliothèque rose qui me restait à faire, un texte dont j’avais quasiment tout oublié en une quinzaine d’années ! Pour le coup c’était une lecture assez mitigée. 🤔

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Je vais commencer par le positif avec le débat qui traverse les siècles : est-ce mieux de faire un travail physique ou intellectuel ? La balance penche ici plus vers le physique, mais ça reste contrebalancé et intéressant ! 🧐

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Il y a 2 personnages qui m’ont plus intriguée. D’abord Lucas, le frère de Gaspard, qui aime le travail de la ferme. Il a une belle bonté, c’est lui qui pense le plus à l’avenir et au bonheur des autres. Il aime ce qu’il fait, il est adorable ! 😊

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La seconde c’est Mina, qui arrive sur la fin. Elle est amusante quand elle est sarcastique et j’aime le fait qu’elle sait se débrouiller seule, sans l’aide des serviteurs ! 😋

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Le problème de ce titre c’est qu’on sent beaucoup qu’il date de 1958 environ. L’éducation vieillit très mal. Voir les parents et le maître d’école fouetter et frapper des enfants c’est moins évident. 😬

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Il y a aussi la retranscription de l’allemand la plus phonétique, et donc insultante je trouve, de ma vie. Je vous l’ait mis en photo pour que vous voyiez bien. 😤

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Et puis Gaspard m’a lassée à force de flatter l’ego de son patron. Je comprends le but, mais trop c’est énervant à force. Pareil, je trouve Mina trop émotive et naïve, le cliché de la jeune femme ingénue… 🙄

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Je termine sur le final du père de Gaspard et de l’allemand qui, pour moi, sont beaucoup trop brusques, survolés et limite anecdotiques donc. C’est assez surprenant. 🤨

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Je comprends mieux maintenant mon peu de souvenirs. C’est un texte assez peu marquant, qui ne vieillit pas très bien. Il garde quand même quelques atouts, donc je lui ait mis 14/20. 🤷🏼‍♀️

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