Je vous parle aujourd’hui d’un titre que j’ai souvent vu glorifié, j’avais des craintes sur la violence que beaucoup évoquent. Je ne sais pas pourquoi j’imaginais deux femmes devant survivre en forêt. Autant dire que ce n’est pas du tout ça… 🤨
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Je vais être claire tout de suite, je n’ai clairement pas aimé. Le seul passage plus sympathique c’est 80 pages où le père n’est pas là, et encore c’est plus plat. Sinon j’ai tout survolé. 🤷🏼♀️
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Allons-y donc pour la liste des problèmes. À commencer par la trop grande place des descriptions et surtout des dialogues hallucinants de répétitivité. Surtout des « oh mon dieu », ou dire 3 fois en 3 phrases de suite « regarde-moi ça ». Le nombre de répétitions en quelques lignes est dingue ! 😳
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Le style d’écriture est aussi très haché entre action et pensée, ça demande une sacrée concentration pour suivre et comprendre, clairement je n’avais pas envie avec les répétitions. 😒
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Pour en rajouter, le père fait genre c’est un intellectuel grincheux qui se plaint sans cesse, alors que c’est plus de la frime qu’autre chose, ce n’est pas intéressant à suivre. 🙄
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Et puis, comme beaucoup le disent, c’est brutal… mais surtout vulgaire. Le nombre de grots mots rien qu’en 22 pages… on a déjà conasse, débile, putain, espèce de pute ou de salope… charmant. J’adore les héroïnes comme ça, c’est si plaisant… 🤥
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Bien sûr, le cadre y est pour quelque chose avec un père qui apprend à sa fille de 14 ans à tirer en servant de cible et qui bien sûr la touche d’un peu trop près physiquement. Il l’appelle aussi Croquette comme si c’était un chien et ils dorment ensemble… charmant. 😫
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Et pour finir, clairement l’évolution (qui mène à la seule fin possible) ne m’a clairement pas intéressée. Je me suis surtout ennuyée, même en survolant le texte. 😴
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Vous aurez donc compris que ce livre n’était pas du tout à mon goût. Je ne comprends pas les avis positifs louant l’écriture notamment. Mais bon, moi c’est un 10/20. N’hésitez pas à me dire pourquoi vous avez aimé si c’est le cas ! 😣
La curiosivore 